Chico Banza, la clé pour bloquer l'inscription du nouveau joueur de Zamalek

Une source responsable au sein du club Zamalek a révélé la raison de la décision de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) de suspendre l'inscription du club pour la septième fois, confirmant que la dernière décision est liée à une nouvelle plainte déposée contre le club blanc.

La source a confirmé à "Al-Shorouk" que le blocage de la nouvelle inscription est dû à une plainte du club portugais Estrela da Amadora, réclamant le paiement de ses créances financières en retard auprès du club Zamalek, concernant le transfert du joueur angolais Chico Banza.

La source a expliqué que la décision de suspension sera levée dès que le club Zamalek aura réglé les créances en retard envers le club portugais, à l'instar des affaires précédentes qui ont été résolues après le paiement.

La Fédération Internationale de Football Association (FIFA) a annoncé, ce mercredi 17 décembre 2025, la suspension du club Zamalek dans une nouvelle affaire, la septième parmi les litiges engagés contre le club, seulement 14 jours après la décision de suspension dans la sixième affaire concernant le joueur tunisien Ferjani Sassi.

La FIFA a indiqué sur son site officiel que la nouvelle décision de suspension interdit à Zamalek d'inscrire des joueurs pendant trois périodes d'enregistrement, rejoignant ainsi des décisions similaires prises récemment contre le club.

Ainsi, Zamalek est suspendu d'inscription pour trois périodes d'enregistrement dans les affaires concernant Ferjani Sassi, l'entraîneur suisse Christian Gross, ainsi que la nouvelle septième affaire, la suspension étant levée dès le paiement des créances en retard.

Les décisions de suspension précédentes avaient été prises en raison de créances financières en retard envers l'ancien entraîneur portugais José Gomes et son staff, ainsi que d'autres réclamations.

La FIFA n'a pas encore révélé officiellement les détails ou les raisons de la septième affaire, tandis que Christian Gross réclame 133 000 dollars pour ses créances en retard, et Ferjani Sassi demande 505 000 dollars, après l'ajout d'un intérêt annuel de 5 % pour les années de retard.